Notre impact écologique

Chez Miraj, chaque commande passée sur notre site participe au financement de la plantation d’un arbre, au recyclage de trois bouteilles plastiques et à la compensation d'un kilo de CO2. Nous travaillons avec l’entreprise Greens Park et participons au changement dans le monde grâce à vous.

Cette idée nous est venue lorsque nous avons réfléchi à l’impact que notre marque aurait sur le monde. A l’image de notre religion, nous voulions qu’elle ait un impact positif, respectueux, et responsable.

 L’objectif de cette initiative est double : 1) participer directement à la reforestation de notre planète afin de compenser notre utilisation de matières premières. 2) Se réapproprier, en tant que musulmans, ce rôle de protecteur de la création sous toutes ses formes et de gestionnaire équilibré des ressources mises à notre disposition par Allah.

 1 - On plante des arbres

La déforestation ne représente pas une menace uniquement pour la faune et la flore, elle menace également les populations qui dépendent directement de ces éco-systèmes pour vivre. Aujourd'hui, près d'1.6 milliards de personnes dépendent de la forêt pour vivre. L'agriculture intensive, les feux de forêts, les activités minières, la recherche de profits sont les principales motivations derrière la destruction des ces habitats naturels. L'utilisation non-durable et intensive de ces terres (souvent vierges) mènent à l'érosion des sols, la désertification, l'augmentation des inondations et de ce fait, à l'impossibilité pour les populations autochtones de continuer de vivre dignement.

Nous avons donc décidé de changer les choses à notre échelle en consacrant une partie des bénéfices générés par vos commandes à la plantation d'arbres dans le monde avec l'association Eden Reforestation Project qui a planté plus de 500 millions d'arbres dans le monde depuis 2005. Les arbres que vous financez sont plantés en Honduras aujourd'hui.

« Il n’est pas un musulman qui plante un arbre dont se nourrit un homme, un animal ou toute autre chose, sans que cela ne soit considéré comme une aumône de sa part. »  Sahih Bukhari, 2320

 2 - On recycle des bouteilles plastiques

Selon les estimations des Nations Unies, 8 millions de tonnes de plastiques finiraient, chaque année, dans nos courts d'eau. Si nous continuons ainsi, d'ici 2050, on aura plus de plastiques dans les océans que de poissons. Nous avons décidé de participer au changement en nous associant à The Plastic Bank qui, depuis 2013, a récupéré et recyclé plus de 10 million de kg de plastiques dans les courts d'eau. Vous financez la récupération et le recyclage de plastiques en Indonésie, Philippines, Haiti, Brésil et Égypte.

3 - On compense les émissions de CO2

En plus du travail que nous effectuons au sein de notre entreprise pour réduire au maximum nos émissions de CO2 (circuit-court, livraison en point relais, déplacements professionnels à pieds ou en transports en commun, utilisation de matériaux durables, économie d'énergie...) nous finançons deux projets au Malawi et en Inde pour réduire la consommation non-durable de matières premières.

Projet en Inde : utiliser les déchets de production de la canne à sucre pour créer une énergie renouvelable dans l'État est-Indien de Bihar. Résultat : une réduction de 321,987 tonnes de CO2 dans l'air que nous respirons.

Projet au Malawi : changer le mode de cuisson des communautés locales en passant du traditionnel feux de bois au "changu-changu motos" un four réalisé à partir de terre qui permet de diminuer drastiquement l'utilisation du bois pour la cuisson. Ce projet permet de réduire la déforestation locale, faire gagner près de dix heures de travail par semaine aux femmes (qui sont chargées d'aller chercher le bois, allumer le feu...) et décroître considérablement le risque lié à l'inhalation de la fumée par les enfants et les femmes (L'OMS estime à 4 millions le nombre de décès prématurés par an dus à l'exposition à la fumée d'un feu ouvert). Résultat : une réduction de près de 2.5 tonnes de CO2 grâce à l'installation de près de 40 000 "changu-changu motos" dont près de 200 000 personnes bénéficient.

« Celui d’entre vous qui voit un mal qu’il le change par sa main. S’il ne peut pas, alors par sa langue et s’il ne peut pas, alors avec son cœur et ceci est le minimum de la foi » Sunan Abi Dawud, 4340